l'idée générale de ce texte me trotte dans la tête depuis déjà fort longtemps elle m'est venue a la lecture de cette phrase de Arthur Charles Clarke .
Toute technologie suffisamment avancée ne peut être distinguée de la magie
PS : je sais que j'ai un petit problème avec l’orthographe et je suis d’ailleurs en train de chercher un correcteur pour passer derrière moi ^^
Premier chapitre : Une âme errante
Spoiler
Sous le soleil et la chaleur de midi, dans la campagne du royaume près d'un petit village typique de la grande prairie . Un homme marche vers l'entré de celui ci, vêtue d'une grande cape dont la capuche était relevée, transportant un grand sac de marin jeter négligemment sur l'épaule,la route était bordée de champs de blé qui se courbait sous l'effet du vent d'été, la récolte semblait bonne cette année . Il passa le pont qui enjambais la petite rivière qui coulais aux pieds du village . La rue principale longeait de petites maisons de bois et autre masures de paysan, plusieurs enfants jouaient a l'extérieur sous le regard bienveillant de leur mère, un vieil homme était assis a l'entré de sa maison, la rumeur typique de l'heure du repas et les bonnes odeurs de nourritures se rependaient dans l'air . L'homme arriva a la place principale du village, en son centre se trouvait le puits du village et juste en face l'auberge, l'une des seuls construction en pierre, avec sa lourde porte en bois, ses fenêtres a croisillons et ces deux étages . L'homme poussa la porte et rentra, a l'intérieur de nombreuses tables de bois avec leurs bancs remplissaient la grande salle, au fond une cheminé éteinte a cette époque de l'année, un escalier en bois semblait mener au chambre de l'auberge ou alors au appartement du tavernier . Celui ci était d’ailleurs derrière le bar, trois clients était assis a une table a boire une bière, le tavernier qui avait dans les 60 ans, les cheveux grisonnant, une longue barbe, des habits simple avec dessus un tablier . Celui si s'approcha de l'homme qui venais d'entré, qui retira sa capuche . Laissant apparaître ces yeux bleu, sa barbe naissante, une coupe en brosse, mais surtout une grande cicatrise qui lui parcourait le visage .
-Bonjour, voyageur . Que puis je pour vous .
-Un repas et une chambre pour la nuit .
-Je vous en pris, par ici .
L'aubergiste lui indiqua la table qu'il allais prendre . Vous allez a Galliossia pour le couronnement de notre jeune princesse ?
-Si on peu dire, mon trajet me conduit sur se chemin . L'aubergiste le conduit a une table a l'écart .
-Cette table vous conviens ?
Fort bien, merci . Il s’assoie sur le banc et s'attable .
-Ma petite fille va prendre votre commande . Frania viens t'occuper de notre nouvel hôte .
Pres du bar, une jeune fille de 17 ans sort de ce qui ressemblait a l'entré de la cuisine, elle était relativement petite, dans les 1 mètre 50, une petite poitrine, de long cheveux blond noués en queux de cheval, et tout comme son grand père des habits simples et le même tablier . Elle était enjouée, son regard était pétillant et ingénue . Une jeune fille pleine de vie .
-Oui grand père .
Elle s’approcha de la table, lui était perdu dans ces pensés .
-Bonjour, je vous conseil notre ragout de viande . Si non vous avez notre tourte, je viens juste de la sortir du four
-Je vais prendre une part de tourte et une chope de bière, jeune fille . Frania le dévisageai .
-Vous venez d'où ? Vous êtes mercenaire ? Vous avez voyager jusqu'où ? Vous venez de qu'elle région de l'empire ?
Il ne se tourna pas vers elle, il noua ses mains .
-Tu pose bien des questions ma petite . Mais pour te répondre, non je ne suis pas mercenaire et j'ai pas mal trainer ma carcasse dans des contrés forts lointaines, et ma terre natal est encore plus loin et je ne pourrais peu être jamais la revoir .
Il se tourna a ce moment la vers elle, il la fixa de son regard et lui fit comprendre qu'elle ne devais plus chercher a en savoir plus . Une petite perle de sueur lui parcourra le dos, elle se retourna et se dirigea vers la cuisine .
-Donc une tourte a la viande et une chope de bière, grand père tu peu servir la bière ?
Elle pénétra dans la cuisine, et son grand père lui apporta ca bière . Il la posa sur la table .
-Veuillez m'excusez ma petite fille, elle n'a jamais quitter notre village et peu parfois être trop curieuse avec les voyageurs .
-Je peu comprendre, mais dans mon pays on dis que la curiosité peu être un vilains défaut .Il pris sa chope et la porta a ces lèvres . Le veille homme semblait surpris de la pertinence des paroles de cette homme .
-Vous avez des paroles bien sages, monseigneur . Si seulement j'arrivais a lui faire entré cela dans ca petite caboche .
-Elle semble jeune aussi, cela viendra avec le temps . L'aubergiste s'esclaffa bruyamment .
-Je l’espère moi aussi, mais elle ressemble tant a ma fille que j'ai peu d'espoir qu'elle change .
Frania sortie de la cuisine portant une assiette en bois, avec une part de tourte encore fumante, son grand père lui retourna derrière son bar .
-Voilà votre tourte .
-J’espère que vous l'aimerez, c'est la meilleur de toute la région . Il s'esclaffa encore une fois .
-Mhooo,fit elle avec une moue des plus mignonne. Grand père, celle de maman est encore meilleur .
Frania piqua un phare et retourna a la cuisine sous les rires et les petites réflexions de son grand père et des autres clients de l'auberge, une fois celle a ces fourneaux, les hommes retournèrent a leur partie de dés . Il se prépara a manger, mais de l'extérieur des bruits de chevaux et de foule résonna dans l'intérieur de l'auberge . A l'entré 4 homme armée d'épée bâtarde et d'armure de cuir, l'un d'entre eux portait un plastron en fers de simple facture . Ils ouvrirent avec violence la porte de la taverne et pénétrèrent a l'intérieur, l'un deux la referma avec la même délicatesse . Il s’approchèrent du bar, l'aubergiste s’avança vers eux .
-Messieurs, que puis je pour vous ?
Il n'eus comme réponse qu'un violent coup de poing au visage qui le projeta avec fracas au sol . Frania attirer par le bruit apparue a l'encablure de la porte et trouva son grand père a terre .
-Grand père . Elle s’accroupit auprès de lui . Grand père, grand père .
Elle releva sa tête et jeta un regard dur et remplie de colère envers ces hommes .
-Bande d'ordure, pourquoi …. Pourquoi l'avoir frapper .
L'homme qui semblait être le chef de cette petite bande s'approcha de Frania, et en penchant la tête vers elle .
-Car j'en avais envie petite pute . Il toucha l'arme qui était a sa ceinture . Et aussi, car j'en ai le pouvoir et la force . Frania comprit en un instant que si il le voulait ils n'hésiteraient pas une seconde a les tuer . Le bandit se releva puis toisa Frania et son grand père .
-Et maintenant on va gentiment me donner son or . Puis il se tourna vers les clients . Cela compte aussi pour vous les cul-terreux .
A l'écart, derrière eux, un des homme marmonnais des propos incompréhensible, sur son visage déchirer par un rictus malsain, de l'écume se formait sur le pourtour de ces lèvres . Il commença a avancer avec un démarche incongrue, ces marmonnements se firent de plus en plus audible.
-Jeune fille fraiche, une jeune fille fraiche et vierge, oui, une fille vierge …. Il avança vers Frania, puis se retourna vers son chef . Chef, et dis chef, je peu l'avoir . Heinn, ca fais longtemps, je te promet je vais pas la casser .
-Hien ? Oui, va y si tu veux, mais pas comme la dernière fois, j'ai pas pus m'amuser moi, tu sais les cadavre c'est pas mon truc . Je les aime encore chaude .
Ne demandant pas son reste, il lui saisie le bras et la tira vers lui, mais Frania résista et se mis a crier .
-Non, lâchez moi, lâchez moi . L'un des clients se leva et tenta de s'interposer .
-Mais lâchez cette enfants . Le dernier Bandit lui asséna un coup de poing dans le ventre
-Toi, on t'a pas sonner petite merde .
Il sortit son épée et le frappa avec le pommeau, l'homme tomba a terre inconscient .
-Voilà c'est mieux comme ca .
Frania toujours entre les griffes de ce fou, criait de plus belle, hurlait de tout son saoul .
-A l'aide, je vous en supplie, a l'aide .
Le chef la tira par les cheveux et la souleva du sol . Frania hurla de douleur . Il approcha son visage du siens .
-Mais tu va te taire a la fin, et de toute manière personne ne va t'aider ici .
Alors qu'il prononçais ces mots, un sourire de satisfaction sadique illumina son visage, alors que celui de Frania était dévoré par une peur incontrôlable . Les larmes coulaient le long de ces joues, un bruit résonna dans l'auberge, tout les protagoniste de cette tragédie se tourna vers lui, il s'était relever, et regardait cette pièce .
-Et bien, et bien . Mais on a quoi la ? L'abruti du village, qui tente de joué au héros? Il sortit son épée . Aller les mec, on va lui faire comprendre qu'il a joué au con .
Tous sortirent leur épées et chargèrent tête baissé . Il ferma les yeux une seconde puis avec un sourire ironique aux lèvres lâcha .
-Tsss, impossible de manger tranquillement dans ce monde …
Pendant ce temps a l'extérieur de l'auberge, plusieurs hommes armés retenaient la population du village, l'un d'entre eux parlait avec un vieil homme
-Alors, le vieux on va me dire ou ce trouve la collecte des impôts ou pas ?
Il croisa les bras et toisa le vieil homme qui était désemparé .
-Mais, nous vous avons déjà donner tout ce que nous avions, il ne nous reste rien …
Le chef des bandits le frappa violemment avec le pommeau de son épée . Le doyen tomba a terre .
-J'ai pas demander des excuses, mais où ce trouve l'or des impôt .
Il posa son épée sur son épaule puis se tourna vers les villageois retenue en otage .
-Bon bien on va devoir recourir a la violence . Bien que je n'aime pas cette méthode .
Il brandis son épée et désigna une personne dans la foule .
-Deimond, Haaerin, apporter moi cette femme .
Les deux bandit s’approchèrent d'elle, elle avais dans les 30 ans et ressemblait fortement a la jeune fille de l'auberge . Ils se saisirent d'elle . Elle tenta de se débattre en hurlant .
-Mais, non … lâchez moi, Ah l'aide ….
Elle se tourna vers la foules alors que les deux bandit la trainait .
-Ah l'aide, aidez moi je vous en supplie .
Mais tout le monde autours d'elle baisèrent la tête ou détournèrent le regard . Ils la jetèrent arriver devant leur chef .
-Comme je l'ai dis, je n'aime pas la violence, mais a chaque mauvaise réponse de votre part . Il tourna la tête vers le doyen . Cette pauvre femme en subira les conséquences .
Son visage s'illumina d'une lumière obscène a l'idée de tué cette pauvre femme .
-Mais, je vous jure, nous n'avons plus rien, nous ne somme que de pauvre ….
Il ne pus terminer sa supplication que le chef des bandit interrompit d'un geste de la mains avec un plaisir non dissimuler .
-Mauvaise réponse .
Il brandit son épée au dessus de sa tête, le doyen ferma ces yeux, les villageois aussi, une mère détourna le visage apeurer de son enfant, la pauvre femme ferma elle aussi ces yeux le visage proscrit d’effrois . Une fenêtre de l'auberge vola en éclat quand un des bandits qui se trouvais a l'intérieur fut projeter contre elle . Il s'écrasa au sol, il semblait sonnée et en mauvais état, plusieurs de ces articulations était disloquées . Le chef des bandit se tourna en baisant son épée .
-Mais c'est quoi cette connerie .
Dans l'encablure de l'auberge une forme apparu, elle pris appuis sur le rebord de celle ci, et passa a travers elle . Il s’avança au milieux de la place près du corps du bandit, s’arrêta a son niveau et se tourna vers le groupe et de villageois . Le chef de la petite bande sifflât .
-Bordel, c'est quoi cet abrutit . Tu te prend pour quoi ? Le roi des cons surement .
-Maman, maman, Lâchez ma mère tout de suite .
Frania avait reconnue sa mère qui sans son intervention serait morte . Elle tenta de passer par la fenêtre .
-Reste où tu est jeune fille .
Elle s’arrêta sur le coup .
-Cette femme est ta mère ? Ne tant fais pas elle sera bientôt avec toi . Mais toi reste ou tu est .
-Non, mais il se prend pour un preux chevalier ce con . Les bandits se mirent a rire au éclat . Deimond, Haaerin, Kaale exploser moi ce trou du cul .
Les trois hommes dégénèrent leur armes, et chargèrent . Lui, resta immobile les bras le long du corps, le premier bandit tenta une charge simple, l'épée près a frapper d'estoc, quand il fus presque sur lui, il fit un mouvement de rotation sur lui même et se retrouva ainsi sur le coté du bandit dans un geste souple et fluide, il passa son bras autours de son cou et fit un mouvement rapide, qui lui cassa net la colonne vertébrale . Le bandit s'écroula mort sur le coup, il se retourna pour faire face au deux autres , le deuxième arriva a ce moment, voulant frapper avec le tranchant de l'épée . Il se déporta une nouvelle fois évitant le coup qui cingla dans l'air, il lui frappa le genou avec un violent coup de pied, celui ci craqua, le bandit lâcha un puissant cri de douleur mais comme l'autre, il eus la colonne vertébrale fracturé par un violent coup de poing a la base du cou . Le dernier hurla en brandissant son épée au dessus de sa tête . il tenta de la faire tomber sur celui qui avais tué deux de ces amis et qui restait immobile face a lui . Il attendit le dernier moment, esquivant la frappe qui finit par percuter le sol avec une telle violence que son épée se figea dans le sol . Mais il n'eus, lui aussi, pas le loisir de comprendre, car encore une fois, un bruit sourd d'un os qui romps résonna . L'escarmouche avais duré moins de 30 secondes . Il se retourna vers le chef des bandits . les deux dernier gredins commencèrent a reculer, un lourd silence se posa dans le village .
-Espèce d'enfoiré, pour quoi te prend tu, tu ne sais pas a qui tu fais face . Je vais te montré ma vrai puissance .
Le bandit fit voler sa grande cape , et sortie d'un holster pendus a sa ceinture un objet anachronique . L'homme qui venait de tué plusieurs de ces subalternes eus une réaction d’étonnement, puis un petit sourire se dessina sur ces lèvres .
-Je ne suis pas venue ici pour rien, j’étais sur la trace d'un pistolet et je tombe par hasard sur un CRP 60. Se dit il a lui même .
Le bandit arma l'arme, puis la pointa vers sa droite et appuya sur la détente . Une rafale de 5 balles fut cracher par le pistolet-mitrailleur . Plusieurs villageois crièrent de peur, le doyen fit un mouvement de recul et tomba a terre . Le bandit regarda droit dans les yeux l’homme qui lui tenait tête
-Alors, on se pisse dessus ?
Celui ci se contenta de le regarder droit dans les yeux sans bouger, il le défiait et lui faisait comprendre qu'il n'avait pas peur . Le bandit fut pris de tremblement .
-Espèce de petite merde je vais te transformer en passoire .
Il s’apprêta a appuyer de nouveau sur la détente, mais quelle fut sa surprise quand il vit l'homme qu'il visait courir dans sa direction, il déclencha le feu de son arme avec la certitude de le tuer, mais son souhait ne se réalisa pas, car sa cible avait fais un pas sur le coté, puis un deuxième, il courait de manière anarchique, et le bandit n'arrivait pas a le suivre . Tirant en mode automatique, l'arme avait un trop fort recul, il n'arrivait pas a le contrôler correctement vue que de surcroit, il tenait l'arme comme un pistolet, sans la plaquer contre son épaule . Il se rapprochait de lui de plus en plus, quand tout a coup l'arme ne cracha plus de balles.
-C'est le moment, le magasin est vide . Dit il a voix base
Il se jeta sur lui et passa sa mains sous sa longue cape et en sortit lui aussi une arme a feu, un grand pistolet, un calibre 0,50 . Il poussa le chef contre le mur d'une des maison, qui s'écroula sous la violence du choc . Quand la poussière fut retombée, le chef était sous cet homme qui braquait son arme a bout touchant contre son crane . Il éloigna d'un geste de son autre mains le pistolet-mitrailleur .
-Mais tu est quoi au juste, un putain de monstre ? Personne n'a jamais pus évité ce déluge de feu . Comment ?
-Tu est un mauvais tireur, et surtout . Comme tu va bientôt mourir, je vais te le dire . Il approcha sa tête de son oreille . Je viens du même monde que cette arme . Il arma le chien de son pistolet .
-Comment ca tu viens ….
Il ne pus terminer sa phrase, car une balle de gros calibre lui explosa la boite crânienne . L'homme qui venais de le tué se releva, rengaina son arme, puis pris le CRP 60 et sortie de la masure, les deux derniers bandits fuyaient de tout leurs saoul pour sauver leurs vie . Touts les villageois étaient murés dans un profond silence . Il marcha vers l'auberge ou se trouvait encore Frania, son grand père sortit de celle ci avec son sac de marin . Il passa a coté de Frania .
-Va rejoindre ta mère petite .
Il lui caressa le dessus du crane . Elle le regarda tétanisée . Il s'approcha du grand père qui tenait son sac a la mains, il lui pris .
-Je vous remercie grand père .
Il l'ouvris et rangea a l'intérieur de CRP 60, puis d'un geste nonchalant le jeta sur son épaule . Il chercha dans l'un des poches de son pantalon et sortie plusieurs pièces d'argent .
-Tenez, pour le repas .
Puis il se dirigea vers la sortie du village . Frania encore tremblante, se retourna vers cet homme qui avait tué ces bandits, sauvé sa vie, celle de sa mère et tout le village . Elle le regarda partir, puis pris sont courage a deux mains .
-Mais qui êtes vous ? Il s’arrêta et sans se retourner .
-Qui je suis ? Une simple âme errante qui parcours ce monde a la recherche de sa terre natal .
-Mais dite moi au moins votre nom .
-Mon nom ? Alexander, Alexander Heilbronn .
-Alexander Heilbronn, merci .
A ces mots il leva simplement la mains puis continua son chemin vers ce qui ,il ne le savait pas encore, allait changer, ce monde, comme lui même, d'une manière qu'il n'aurais jamais imaginer a ce moment la .
-Bonjour, voyageur . Que puis je pour vous .
-Un repas et une chambre pour la nuit .
-Je vous en pris, par ici .
L'aubergiste lui indiqua la table qu'il allais prendre . Vous allez a Galliossia pour le couronnement de notre jeune princesse ?
-Si on peu dire, mon trajet me conduit sur se chemin . L'aubergiste le conduit a une table a l'écart .
-Cette table vous conviens ?
Fort bien, merci . Il s’assoie sur le banc et s'attable .
-Ma petite fille va prendre votre commande . Frania viens t'occuper de notre nouvel hôte .
Pres du bar, une jeune fille de 17 ans sort de ce qui ressemblait a l'entré de la cuisine, elle était relativement petite, dans les 1 mètre 50, une petite poitrine, de long cheveux blond noués en queux de cheval, et tout comme son grand père des habits simples et le même tablier . Elle était enjouée, son regard était pétillant et ingénue . Une jeune fille pleine de vie .
-Oui grand père .
Elle s’approcha de la table, lui était perdu dans ces pensés .
-Bonjour, je vous conseil notre ragout de viande . Si non vous avez notre tourte, je viens juste de la sortir du four
-Je vais prendre une part de tourte et une chope de bière, jeune fille . Frania le dévisageai .
-Vous venez d'où ? Vous êtes mercenaire ? Vous avez voyager jusqu'où ? Vous venez de qu'elle région de l'empire ?
Il ne se tourna pas vers elle, il noua ses mains .
-Tu pose bien des questions ma petite . Mais pour te répondre, non je ne suis pas mercenaire et j'ai pas mal trainer ma carcasse dans des contrés forts lointaines, et ma terre natal est encore plus loin et je ne pourrais peu être jamais la revoir .
Il se tourna a ce moment la vers elle, il la fixa de son regard et lui fit comprendre qu'elle ne devais plus chercher a en savoir plus . Une petite perle de sueur lui parcourra le dos, elle se retourna et se dirigea vers la cuisine .
-Donc une tourte a la viande et une chope de bière, grand père tu peu servir la bière ?
Elle pénétra dans la cuisine, et son grand père lui apporta ca bière . Il la posa sur la table .
-Veuillez m'excusez ma petite fille, elle n'a jamais quitter notre village et peu parfois être trop curieuse avec les voyageurs .
-Je peu comprendre, mais dans mon pays on dis que la curiosité peu être un vilains défaut .Il pris sa chope et la porta a ces lèvres . Le veille homme semblait surpris de la pertinence des paroles de cette homme .
-Vous avez des paroles bien sages, monseigneur . Si seulement j'arrivais a lui faire entré cela dans ca petite caboche .
-Elle semble jeune aussi, cela viendra avec le temps . L'aubergiste s'esclaffa bruyamment .
-Je l’espère moi aussi, mais elle ressemble tant a ma fille que j'ai peu d'espoir qu'elle change .
Frania sortie de la cuisine portant une assiette en bois, avec une part de tourte encore fumante, son grand père lui retourna derrière son bar .
-Voilà votre tourte .
-J’espère que vous l'aimerez, c'est la meilleur de toute la région . Il s'esclaffa encore une fois .
-Mhooo,fit elle avec une moue des plus mignonne. Grand père, celle de maman est encore meilleur .
Frania piqua un phare et retourna a la cuisine sous les rires et les petites réflexions de son grand père et des autres clients de l'auberge, une fois celle a ces fourneaux, les hommes retournèrent a leur partie de dés . Il se prépara a manger, mais de l'extérieur des bruits de chevaux et de foule résonna dans l'intérieur de l'auberge . A l'entré 4 homme armée d'épée bâtarde et d'armure de cuir, l'un d'entre eux portait un plastron en fers de simple facture . Ils ouvrirent avec violence la porte de la taverne et pénétrèrent a l'intérieur, l'un deux la referma avec la même délicatesse . Il s’approchèrent du bar, l'aubergiste s’avança vers eux .
-Messieurs, que puis je pour vous ?
Il n'eus comme réponse qu'un violent coup de poing au visage qui le projeta avec fracas au sol . Frania attirer par le bruit apparue a l'encablure de la porte et trouva son grand père a terre .
-Grand père . Elle s’accroupit auprès de lui . Grand père, grand père .
Elle releva sa tête et jeta un regard dur et remplie de colère envers ces hommes .
-Bande d'ordure, pourquoi …. Pourquoi l'avoir frapper .
L'homme qui semblait être le chef de cette petite bande s'approcha de Frania, et en penchant la tête vers elle .
-Car j'en avais envie petite pute . Il toucha l'arme qui était a sa ceinture . Et aussi, car j'en ai le pouvoir et la force . Frania comprit en un instant que si il le voulait ils n'hésiteraient pas une seconde a les tuer . Le bandit se releva puis toisa Frania et son grand père .
-Et maintenant on va gentiment me donner son or . Puis il se tourna vers les clients . Cela compte aussi pour vous les cul-terreux .
A l'écart, derrière eux, un des homme marmonnais des propos incompréhensible, sur son visage déchirer par un rictus malsain, de l'écume se formait sur le pourtour de ces lèvres . Il commença a avancer avec un démarche incongrue, ces marmonnements se firent de plus en plus audible.
-Jeune fille fraiche, une jeune fille fraiche et vierge, oui, une fille vierge …. Il avança vers Frania, puis se retourna vers son chef . Chef, et dis chef, je peu l'avoir . Heinn, ca fais longtemps, je te promet je vais pas la casser .
-Hien ? Oui, va y si tu veux, mais pas comme la dernière fois, j'ai pas pus m'amuser moi, tu sais les cadavre c'est pas mon truc . Je les aime encore chaude .
Ne demandant pas son reste, il lui saisie le bras et la tira vers lui, mais Frania résista et se mis a crier .
-Non, lâchez moi, lâchez moi . L'un des clients se leva et tenta de s'interposer .
-Mais lâchez cette enfants . Le dernier Bandit lui asséna un coup de poing dans le ventre
-Toi, on t'a pas sonner petite merde .
Il sortit son épée et le frappa avec le pommeau, l'homme tomba a terre inconscient .
-Voilà c'est mieux comme ca .
Frania toujours entre les griffes de ce fou, criait de plus belle, hurlait de tout son saoul .
-A l'aide, je vous en supplie, a l'aide .
Le chef la tira par les cheveux et la souleva du sol . Frania hurla de douleur . Il approcha son visage du siens .
-Mais tu va te taire a la fin, et de toute manière personne ne va t'aider ici .
Alors qu'il prononçais ces mots, un sourire de satisfaction sadique illumina son visage, alors que celui de Frania était dévoré par une peur incontrôlable . Les larmes coulaient le long de ces joues, un bruit résonna dans l'auberge, tout les protagoniste de cette tragédie se tourna vers lui, il s'était relever, et regardait cette pièce .
-Et bien, et bien . Mais on a quoi la ? L'abruti du village, qui tente de joué au héros? Il sortit son épée . Aller les mec, on va lui faire comprendre qu'il a joué au con .
Tous sortirent leur épées et chargèrent tête baissé . Il ferma les yeux une seconde puis avec un sourire ironique aux lèvres lâcha .
-Tsss, impossible de manger tranquillement dans ce monde …
Pendant ce temps a l'extérieur de l'auberge, plusieurs hommes armés retenaient la population du village, l'un d'entre eux parlait avec un vieil homme
-Alors, le vieux on va me dire ou ce trouve la collecte des impôts ou pas ?
Il croisa les bras et toisa le vieil homme qui était désemparé .
-Mais, nous vous avons déjà donner tout ce que nous avions, il ne nous reste rien …
Le chef des bandits le frappa violemment avec le pommeau de son épée . Le doyen tomba a terre .
-J'ai pas demander des excuses, mais où ce trouve l'or des impôt .
Il posa son épée sur son épaule puis se tourna vers les villageois retenue en otage .
-Bon bien on va devoir recourir a la violence . Bien que je n'aime pas cette méthode .
Il brandis son épée et désigna une personne dans la foule .
-Deimond, Haaerin, apporter moi cette femme .
Les deux bandit s’approchèrent d'elle, elle avais dans les 30 ans et ressemblait fortement a la jeune fille de l'auberge . Ils se saisirent d'elle . Elle tenta de se débattre en hurlant .
-Mais, non … lâchez moi, Ah l'aide ….
Elle se tourna vers la foules alors que les deux bandit la trainait .
-Ah l'aide, aidez moi je vous en supplie .
Mais tout le monde autours d'elle baisèrent la tête ou détournèrent le regard . Ils la jetèrent arriver devant leur chef .
-Comme je l'ai dis, je n'aime pas la violence, mais a chaque mauvaise réponse de votre part . Il tourna la tête vers le doyen . Cette pauvre femme en subira les conséquences .
Son visage s'illumina d'une lumière obscène a l'idée de tué cette pauvre femme .
-Mais, je vous jure, nous n'avons plus rien, nous ne somme que de pauvre ….
Il ne pus terminer sa supplication que le chef des bandit interrompit d'un geste de la mains avec un plaisir non dissimuler .
-Mauvaise réponse .
Il brandit son épée au dessus de sa tête, le doyen ferma ces yeux, les villageois aussi, une mère détourna le visage apeurer de son enfant, la pauvre femme ferma elle aussi ces yeux le visage proscrit d’effrois . Une fenêtre de l'auberge vola en éclat quand un des bandits qui se trouvais a l'intérieur fut projeter contre elle . Il s'écrasa au sol, il semblait sonnée et en mauvais état, plusieurs de ces articulations était disloquées . Le chef des bandit se tourna en baisant son épée .
-Mais c'est quoi cette connerie .
Dans l'encablure de l'auberge une forme apparu, elle pris appuis sur le rebord de celle ci, et passa a travers elle . Il s’avança au milieux de la place près du corps du bandit, s’arrêta a son niveau et se tourna vers le groupe et de villageois . Le chef de la petite bande sifflât .
-Bordel, c'est quoi cet abrutit . Tu te prend pour quoi ? Le roi des cons surement .
-Maman, maman, Lâchez ma mère tout de suite .
Frania avait reconnue sa mère qui sans son intervention serait morte . Elle tenta de passer par la fenêtre .
-Reste où tu est jeune fille .
Elle s’arrêta sur le coup .
-Cette femme est ta mère ? Ne tant fais pas elle sera bientôt avec toi . Mais toi reste ou tu est .
-Non, mais il se prend pour un preux chevalier ce con . Les bandits se mirent a rire au éclat . Deimond, Haaerin, Kaale exploser moi ce trou du cul .
Les trois hommes dégénèrent leur armes, et chargèrent . Lui, resta immobile les bras le long du corps, le premier bandit tenta une charge simple, l'épée près a frapper d'estoc, quand il fus presque sur lui, il fit un mouvement de rotation sur lui même et se retrouva ainsi sur le coté du bandit dans un geste souple et fluide, il passa son bras autours de son cou et fit un mouvement rapide, qui lui cassa net la colonne vertébrale . Le bandit s'écroula mort sur le coup, il se retourna pour faire face au deux autres , le deuxième arriva a ce moment, voulant frapper avec le tranchant de l'épée . Il se déporta une nouvelle fois évitant le coup qui cingla dans l'air, il lui frappa le genou avec un violent coup de pied, celui ci craqua, le bandit lâcha un puissant cri de douleur mais comme l'autre, il eus la colonne vertébrale fracturé par un violent coup de poing a la base du cou . Le dernier hurla en brandissant son épée au dessus de sa tête . il tenta de la faire tomber sur celui qui avais tué deux de ces amis et qui restait immobile face a lui . Il attendit le dernier moment, esquivant la frappe qui finit par percuter le sol avec une telle violence que son épée se figea dans le sol . Mais il n'eus, lui aussi, pas le loisir de comprendre, car encore une fois, un bruit sourd d'un os qui romps résonna . L'escarmouche avais duré moins de 30 secondes . Il se retourna vers le chef des bandits . les deux dernier gredins commencèrent a reculer, un lourd silence se posa dans le village .
-Espèce d'enfoiré, pour quoi te prend tu, tu ne sais pas a qui tu fais face . Je vais te montré ma vrai puissance .
Le bandit fit voler sa grande cape , et sortie d'un holster pendus a sa ceinture un objet anachronique . L'homme qui venait de tué plusieurs de ces subalternes eus une réaction d’étonnement, puis un petit sourire se dessina sur ces lèvres .
-Je ne suis pas venue ici pour rien, j’étais sur la trace d'un pistolet et je tombe par hasard sur un CRP 60. Se dit il a lui même .
Le bandit arma l'arme, puis la pointa vers sa droite et appuya sur la détente . Une rafale de 5 balles fut cracher par le pistolet-mitrailleur . Plusieurs villageois crièrent de peur, le doyen fit un mouvement de recul et tomba a terre . Le bandit regarda droit dans les yeux l’homme qui lui tenait tête
-Alors, on se pisse dessus ?
Celui ci se contenta de le regarder droit dans les yeux sans bouger, il le défiait et lui faisait comprendre qu'il n'avait pas peur . Le bandit fut pris de tremblement .
-Espèce de petite merde je vais te transformer en passoire .
Il s’apprêta a appuyer de nouveau sur la détente, mais quelle fut sa surprise quand il vit l'homme qu'il visait courir dans sa direction, il déclencha le feu de son arme avec la certitude de le tuer, mais son souhait ne se réalisa pas, car sa cible avait fais un pas sur le coté, puis un deuxième, il courait de manière anarchique, et le bandit n'arrivait pas a le suivre . Tirant en mode automatique, l'arme avait un trop fort recul, il n'arrivait pas a le contrôler correctement vue que de surcroit, il tenait l'arme comme un pistolet, sans la plaquer contre son épaule . Il se rapprochait de lui de plus en plus, quand tout a coup l'arme ne cracha plus de balles.
-C'est le moment, le magasin est vide . Dit il a voix base
Il se jeta sur lui et passa sa mains sous sa longue cape et en sortit lui aussi une arme a feu, un grand pistolet, un calibre 0,50 . Il poussa le chef contre le mur d'une des maison, qui s'écroula sous la violence du choc . Quand la poussière fut retombée, le chef était sous cet homme qui braquait son arme a bout touchant contre son crane . Il éloigna d'un geste de son autre mains le pistolet-mitrailleur .
-Mais tu est quoi au juste, un putain de monstre ? Personne n'a jamais pus évité ce déluge de feu . Comment ?
-Tu est un mauvais tireur, et surtout . Comme tu va bientôt mourir, je vais te le dire . Il approcha sa tête de son oreille . Je viens du même monde que cette arme . Il arma le chien de son pistolet .
-Comment ca tu viens ….
Il ne pus terminer sa phrase, car une balle de gros calibre lui explosa la boite crânienne . L'homme qui venais de le tué se releva, rengaina son arme, puis pris le CRP 60 et sortie de la masure, les deux derniers bandits fuyaient de tout leurs saoul pour sauver leurs vie . Touts les villageois étaient murés dans un profond silence . Il marcha vers l'auberge ou se trouvait encore Frania, son grand père sortit de celle ci avec son sac de marin . Il passa a coté de Frania .
-Va rejoindre ta mère petite .
Il lui caressa le dessus du crane . Elle le regarda tétanisée . Il s'approcha du grand père qui tenait son sac a la mains, il lui pris .
-Je vous remercie grand père .
Il l'ouvris et rangea a l'intérieur de CRP 60, puis d'un geste nonchalant le jeta sur son épaule . Il chercha dans l'un des poches de son pantalon et sortie plusieurs pièces d'argent .
-Tenez, pour le repas .
Puis il se dirigea vers la sortie du village . Frania encore tremblante, se retourna vers cet homme qui avait tué ces bandits, sauvé sa vie, celle de sa mère et tout le village . Elle le regarda partir, puis pris sont courage a deux mains .
-Mais qui êtes vous ? Il s’arrêta et sans se retourner .
-Qui je suis ? Une simple âme errante qui parcours ce monde a la recherche de sa terre natal .
-Mais dite moi au moins votre nom .
-Mon nom ? Alexander, Alexander Heilbronn .
-Alexander Heilbronn, merci .
A ces mots il leva simplement la mains puis continua son chemin vers ce qui ,il ne le savait pas encore, allait changer, ce monde, comme lui même, d'une manière qu'il n'aurais jamais imaginer a ce moment la .