Anime de la semaine : Needless

Bonsoir Bonsoir mes chers pervers,

ça y est la boucle est bouclée, tous les styles ont été passés et on revient à la case départ avec le style Ecchi.

Bon, vous m'excuserez pour le manque d'originalité en ce qui concerne ce style, j'en ai choisis un classique mais qui a eu le mérite de me plaire. ( Voyez pour quoi ... Hé les filles, regardez ces tablettes de chocolat! J'ai faim !! )

La chronique de Loveleuste vous présente l'anime de la semaine : Needless

Bon, la dernière fois j'avais expliqué la différence entre le ecchi et le hentaï. Donc cette fois-ci, en accord Needless, je vais aborder le sujet "lolicon" avec délicatesse. Le terme "lolicon" est la contraction de "lolita Complex" qui définit l'attirance sexuelle pour des jeunes filles voire des fillettes. Il est souvent rapproché de la pédopornographie mais il ne faut pas le voir sous cet angle-là, il faut seulement y penser comme l'expression artistique de la fille parfaite : simple, kawaï, fine et aux formes voluptueuses.

Les statistiques ont par ailleurs montré qu'au Japon (pays où le matériel pornographique est accessible très fortement et où l'imagination des artistes est aussi la moins bridée) est le pays où les agressions sexuelles sont les plus en baisse.

Voilà c'était la minute "information"

L'anime Needless est en 24 épisodes produit par le studio Madhouse Production (Chi's Sweet Home, Chobits) et Avex INC (Inuyasha, Major) ayant pour auteur original Imai Kamii. On le classe dans le style Comédie et Ecchi, bien entendu. Il est sortit en hiver 2009.

La troisième guerre mondiale est passée par là, la terre en porte les cicatrices telles que de critères géants dans le sol appelés "Black Spot" avec des humains qui ont subit des mutations génétiques leur créant de nouvelles capacités extraordinaires. En découle une guerre pour la domination de ces Black Spot.

Le synopsis paraît simple alors agrémentez-le de couleur vive, de petites culottes et de poitrines semi-exhibées.

L'ouverture de cet anime par la description de ce monde semi-apocalyptique et cet image du trou noir nous rappelle immédiatement les premières images du film Akira de Tôhô. C'est flagrant mais aussi un peu par rapport à ça que l'on déçu par le premier épisode. On en ressort sceptique mais c'est à partir du deuxième que l'anime décolle vraiment. Notre Héros est vraiment nul mais il se révèle par sa réflexion dans les moments critiques à condition que tous ses "amis" le soutiennent, grand classique du soutien amical style Mousquetaires.

Il n'a aucun pouvoir mais autour de lui va se former ceux qui vont s'opposer au "dictateur" du Black Spot. Les rebondissements sont nombreux mais les combats sont pour certains en tout cas vraiment invraisemblable... on se demande parfois pourquoi la "méchante" ne meurt pas avec tout ce qu'elle prit .....Néanmoins, la plupart tienne la route et la diversité des personnages et donc des pouvoirs est appréciable et renouvelle constamment l'histoire avec de l'action. Ecchi certes mais loin de la niaiserie habituelle.

L'humour apparaît constamment, il est souvent grossier sur les bords mais permet de nous faire sourire un bon nombre de fois quand même.

Le coté Ecchi n'est pas mis de coté, il est omniprésent. Et nous avons parmi les personnages principaux un prêtre pervers Adam Blade de type lolicon (voir "le saviez-vous ?") qui bave certes mais qui nous offre, mademoiselles, un graphisme d'homme au physique parfait ! Et voici aussi les demoiselles en image !!

Le premier Opening est limite comique avec le mot en anglais qui ressort "Cowboy" mais le fond sonore est rock et ça c'est plutôt un bon point et le Ending est Yuri au possible.

Ce n'est certes pas l'anime du siècle mais pour un ecchi, son scénario m'a bien accroché et les garçons sont mignons à croquer ce qui me rend aussi perverse que les garçons qui regardent les petites culottes (ne dites pas non, on le saiiiiiiiiiit)

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